Hum… ça sent l’ail!
Nemmeno a farlo apposta, nel numero di novembre di “Saveurs”, una delle mie riviste di cucina preferite, c’è uno speciale sull’aglio! Colgo l’occasione per inserire la ricetta dell’aiolì nonchè un trafiletto dedicato al più classico dei dilemmi… aillophiles o aillophobes?
Aiolì: 3 gousses d’ail, 1 jaune d’oeuf, 25 cl d’huile d’olive: épluchez l’ail et écrasez-le dans un mortier à l’aide d’un pilon. Ajoutez le jaune d’oeuf, salez e poivrez. versez l’huile d’olive en filet, sans cesser de mélanger à l’aide d’un fouet. Réservez au réfrigérateur.
AILLOPHILES OU AILLOPHOBES?
“Le débat partage l’humanité depuis la nuit des temps. Les vertus de l’ail n’ont jamais été remises en cause. Ce qu’on lui reproche, c’est de corrompre l’haleine. Pour combattre ce fléau, oubliez les remèdes de bonne femme (qui a envie de brouter trois brins de persil? Qui possède encore des grains de café?). Prenez soin d’oter le germe au centre de la gousse, brossez-vous bien les dents, machez un chewing-gum et évitez de programmer juste après un rendez-vous décisif. Sachez enfin que l’ail cuit n’a pas les inconvénients de l’ail cru”.